BEETLE est un spectacle chorégraphique qui retrace une expérience personnelle bouleversante dans la vie de son auteur.
Dans un récit qui mêle l’enfance du personnage, son parcours de médicalisation à cause du VIH, son départ de Tunisie puis son retour.
À 10H et 15h – Eden le dino – Un jeu vidéo au théâtre et sans vidéo // Durée 40 min Tania et Tim sont en CM2, elle est fan de jeux vidéo et lui de Harry Potter. Tania commence à jouer en réseau, elle s’évade dans des mondes merveilleux et rencontre une communauté qui partage sa passion. Un jour, elle commet une faute d’inattention qui tue un personnage du jeu. Tania découvre non seulement le deuil, quand bien même “virtuel”, mais aussi le harcèlement en ligne. Qui pourra la consoler ? Réserver à 10h – Réserver à 15h
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En 2022, j’avais alors 36 ans et grâce à mon âge ça ne se voyait pas encore, mais j’étais largement en train de rater ma vie d’artiste. En réalisant ça, j’avais trouvé l’élan et mon champ de compétence allant grandissant, il était temps d’en parler et d’ouvrir à d’autres artistes raté.e.s et au ratage en soit dont je devenais spécialiste : ratages écologiques, foirages amoureux, échecs picturaux, vaines tentatives sportives…
En partenariat avec la Villa Valmont Distribution, Conception, interprétation : David Malan Création visuelle : Marianne Rulland Stagiaire à la dramaturgie : Elizabeth Burbidge Stagiaire assistanat à la mise en scène : Agathe Canque. Partenaires Occitanie en Scène ; Théâtre du Grand Rond, Toulouse (31) ; Les Avants-Postes au théâtre de La Lucarne, Bordeaux (33) ; Villa Valmont, Lormont (33) ; Ring – Scène Périphérique Toulouse (31) ; Angonia, Martres-Tolosane (31) ; MJC Empalot, Toulouse (31) ; L’Image qui parle, Paimpol (22) ; Les Ateliers du Geste, Mouret (12) ; Le BAMP, Bruxelles (Belgique) ; Les Ateliers du Vivant, Félines-Minervois (12).
– En partenariat avec Le collectif Saturday Night Puppet, la Salle Des Fêtes du Grand Parc et la Mairie de Bordeaux –
Samedi 12 avril
14h30 : Vernissage de l’exposition «La réalité des mirages» et petit goûter d’accueil.
Avec Linda Trime, IanE Sirota, Mélanie Pottier/O&Ange -h, dans le cadre du 2ème mois de
La photographie de Bordeaux en complicité avec le collectif Saturday Night Puppet.
16h00 : Ubu Roi-Vrout / Cie Les Lubies.
Performance d’objets, de comestibles et vestimentaire pour un acteur-marionnettiste.
La folie du pouvoir et la puissance de l’imaginaire sont au cœur de l’œuvre d’Alfred Jarry.
Lien réservation : https://www.helloasso.com/associations/avant-poste-maison-d-art-et-de-convivialite/evenements/ubu-roi-vrout-cie-les-lubies
19h-22h : Soirée Crush & Crash / parcours de 10 formes courtes entrecoupé de pauses conviviales + buvette + Modules de la Cie Boîte à sel en continu.
“Crush & Crash” est un moment de liberté, de prise de risques, pour des idées folles, des one shot, des « pas finis », des possibles « en cours de réalisation », offerts au regard bienveillant et participatif des spectatrices et des spectateurs.
Lien réservation : https://www.helloasso.com/associations/avant-poste-maison-d-art-et-de-convivialite/evenements/soiree-crush-and-crash
22h00 : La Tête / Cie La Boîte à Sel.
Tour de chant geek pour machine mi-pneu mi-punk. Impromptu technologico bricolé. La Tête, créature attachante, bavarde et mélomane, interprète quelques-uns de ses tubes frondeurs écrits par le prolifique Kim Giani.
Dimanche 13 avril
13h00 : « brunch marionnettique » et projection de films d’animation (dessins, objets, matières …) en collaboration avec l’association Monokini.
Lien réservation : https://www.helloasso.com/associations/avant-poste-maison-d-art-et-de-convivialite/evenements/brunch-marionnettique-et-projection
A retrouver aussi :
Mercredi 09 avril – Place Saint Michel
Toute la journée : Les préludes – Cie Mouka
Performances de Katia Leroi-Godet – Cie Mouton de Vapeur
Du 24 au 27 avril 2025
À l’adresse du Jeune-Public et des familles
Quartier Grand Parc – Salle des Fêtes du Grand Parc
Dans le cadre du Festival Bobine de Fil
Cela commence “presque” comme un conte : Il était une fois, un homme qui voulait traverser la mer… Raconté par un comédien, UN QUI VEUT TRAVERSER interroge notre rapport à l’étranger. Cet autre rendu trop souvent anonyme par les médias trouve ici un visage. Par son interprétation à la frontière de l’incarnation, Tonin PALAZZOTTO nous emmène avec lui sur la route de ceux et celles qui quittent leurs pays dans l’espoir d’une vie meilleure ailleurs. La Compagnie d’Amour Emporté vous propose de découvrir ce texte de l’écrivain Marc-Emmanuel Soriano inspiré notamment par l’enquête du journaliste Fabrizio Gatti, parti sous un faux nom emprunter le périple des immigrés clandestins rejoignant l’Europe depuis Dakar. Loin des morbides clichés médiatiques destinés à nous sidérer et à nous priver de notre capacité d’action et d’empathie, ce texte, par sa complexité et sa beauté, est à la fois un réquisitoire contre la violence impitoyable du capitalisme et de la mondialisation, et une tentative brûlante de redonner une voix à ces femmes, à ces hommes et à ces enfants qui meurent, comme sans nom et sans visages, à nos portes. Ce spectacle, pour nous, c’est une prière, une tentative de percer un instant la ténèbre humaine par la lucidité et l’amour.
La Compagnie D’Amour Emporté est soutenue par le TDB (Théâtre Dijon Bourgogne), le théâtre du Grand Angle (Scène régionale du Pays Voironnais), le Théâtre de Givors (Scène Régionale), le Pôle Culturel Chabran (Draguignan) et le Fonds de dotation Simones.
Hello beautiful stranger, c’est une rencontre entre deux êtres qui questionnent la communication aux frontières physiques, émotionnelles et mentales entre les individus. Qu’est ce qu’un étranger ? Existe-t-il des étrangers en nous-même ? Que pouvons-nous faire ensemble que nous ne pouvons pas faire seuls ? Comment pouvons-nous développer notre capacité à recevoir l’autre ? Issues de continents différents, vivant dans des pays différents, communiquant dans des langues différentes, Jess et Kriss se sont trouvées à travers la danse. Elles se rencontrent en 2022 à Berlin durant un Workshop de danse contact et improvisation. Leur alchimie et soif de faire connaissance les poussent à organiser des laboratoires de recherches entre Berlin et Bordeaux. Au sein de cette oeuvre, elles explorent leur rapport aux frontières. En utilisant leur corps comme territoire de rencontre, elles apprennent à communiquer dans l’instantané, à accueillir et danser avec les multiplicités de l’autre. Hello Beautiful Stranger est une pièce qui étudie la communication et la cohésion au sein de l’étrangeté.
” Pleins Feux ” est un récit performatif à la première personne. Un spectacle existentialiste qui interroge notre rapport aux images et aux représentations du féminin, à la violence et à ses possibles réparations.
Cela part d’un manque, de foi, d’amour, de joie, de soi. Comment faire de cette absence une force, une matière à se réinventer, à célébrer ?
Dans l’intimité d’une chambre elle attend Isabelle Adjani. Elle invite le public à l’attendre aussi. Elle prépare un gâteau. Elle L’espère. Elle romance.
Elle convoque des fantômes et des récits. Comme une funambule, elle avance sur le fil et tisse une ode luminescente et impressionniste, pour conjurer le vide, et faire scintiller le monde dans une fête au bord du gouffre.
Que doit-on vomir tous.te.s ensemble ? « Pleins Feux » , ode à l’ennui, donne du vide à manger. Il dit notre besoin de fictions, de transe et d’émancipation.
Création 2025 :
Compagnie « Nos abîmes ordinaires»- Maëlle Gozlan. Conception, Écriture/ Interprétation: Maëlle Gozlan. Collaboration à la mise en scène/recherche/dramaturgie : Elise Servières. Collaboration à la recherche: Nicolas Meusnier. Création Lumiére: Véronique Bridier, Margot Cattan. Production : Estelle Martinet.
Coproduction: Centre Simone Signoret, Iddac
Partenaires: “Les avant-Postes“, “Le Moulin du Marais” Lezay, “La Maison Maria Casarès” Alloue, Théâtre Jean Vilar Eysines, « Les marches de l’été », « Le lieu sans Nom »,
Poète et performeuse, GORGE BATAILLE aka Élodie Petit s’est formée à l’école des Beaux-Arts de Lyon et dans les milieux alternatifs. Elle travaille une prose critique et pirate qui mêle introspection sociale, manifestes, réflexions politiques et poèmes amoureux. Elle construit des fictions transgressives empruntes au trouble identitaire, aux luttes des classes et au geste spéculatif. Avec Fiévreuse plébéienne (2022, ed. du commun) elle initie ce qu’elle nomme la Langue Bâtarde : une poésie prolétaire, expérientielle, menaçante et gouine. En 2021, elle a publié Anthologie Douteuses 2010-2020 (éd. Rotolux press) qui retrace dix années de fanzines queer et poétiques avec Marguerin Lelouvier. Elle aime déplacer la poésie en dehors des lieux prévus pour elle, et performe seule ou en groupe dans des bar lesbiens ou des institutions d’art contemporain (Palais de Tokyo, Centre Pompidou, Fondation Ricard Paris, CAC de Genève, etc.). Elle collabore avec des artistes sonores, fait partie du collectif d’autrix RER Q et anime régulièrement des ateliers d’écritures collaboratives. http://elodiepetit.fr/